Je partage mon expérience du moins pas méga longue car seulement ouvert lundi mercredi jeudi et vendredi ... De 9h à 12h et de 14h à 17h ....
Autant dire seulement 24 h par semaine....
Nous avons jamais payé aussi cher le service postal ... Et nous n'avons jamais eu aussi peu de services ...
Je pense qu'avec 25 983 millions d'euros de chiffre d'affaires (1 milliard d'euros seulement en plus en 2019..) il serait peut-être temps d'embaucher non ?!
Je travaille du lundi au vendredi de 7h à 18h difficile de m'y rendre, j'imagine pas être le seul ...
Des lettres postées le 25 juin avec timbre prioritaires dans la boîte à lettres à côté de l'office de tourisme à Porto ne sont toujours pas arrivées !!!
Les boîtes sont-elles relevées ?
Faut il affranchir au tarif international pour le Maine et Loire ?
Ou le courrier n'est-il tout simplement Envoyé sur le continent ???
Personnel qui ne fait qu'acte de présence dont la formation est à revoir !
Représente vraiment les ptt
Ca m'a pris trois heures pour faire un simple virement international ... par simple flemmardise !
Il y a une personne dans cette poste qui est exécrable..Cette personne fonctionne à la tete du client.
Heureuse d'être la capitaine de son guichet.
Et cela depuis tellement d'année..la direction devrait s'en soucier car cette personne ne devrait pas avoir sa place à l'accueil.
Première fois dans cette poste et suis tombé sur une dame charmante et agréable qui m'a bien renseigné , je lui ai même fais un compliment pour sa gentillesse .
Reçu un mail me disant que le livreur est passé mais que j'étais absent, alors que je n'ai pas bougé de chez moi de la journée. Il est écrit que je suis censé avoir eu un avis de passage dans ma boite aux lettres, mais rien.
Colissimo : la pire société de livraison
Service lamentable. Ma carte est bloquée depuis 6 semaines et la cadre a été incapable de gérer le problème malgré 2 visites de longue durée. Ils méritent d'être attaqués pour dommages et intérêts et atteinte à la dignité morale (j'en ai été réduit ces derniers jours à recourir à la mendicité pour compléter l'aide familiale alors que mon compte est largement approvisionné). Endroit maudit à fuir comme la peste.